Myrtille
Il y a des livres pour lesquels il n’y a pas de mots pour exprimer ce qu’on a ressenti en les lisant. J’en ai connu plusieurs des comme ça. Bien que, soyons clairs, ma lecture d’Hunger Games n’est pas due au fruit du hasard…
Je vais m’abstenir de faire un résumé, ça me semble plutôt inutile. Comme je l’ai dit, je ne sais pas trop comment expliquer combien ce livre m’a plu. J’ai vu le film avant de le lire, ce qui a sans doute changé pas mal ma perception du truc, mais est-ce mauvais ? Peut-être. Sur ce coup-là ça ne m’a pas vraiment dérangée. C’était plutôt bien de pouvoir comparer ce qui a été retranscrit ou non dans le film, et pour l’avoir revu plusieurs fois depuis, je trouve que l’adaptation est globalement bien foutue.
Sa réticence à livrer ses sentiments, son questionnement devant la société dans laquelle elle vit, sa farouche détermination à s’en sentir, le sentiment de haine qui l’anime face à la puissance du Capitole, sa façon de lui tenir tête… Tant de choses qui m’ont séduite dans le personnage de Katniss. Et même si ça va lui coûter cher, je suis pleine d’admiration envers elle pour le dernier pied de nez qu’elle a fait au pouvoir.
Je vous invite à lire, si vous avez un moment, la critique passionnante de Hunger Games sur Le Cinéma est Politique, histoire de compenser ma chronique un peu (carrément ^^) vide côté analyse.
Je vais terminer de la façon la plus logique qui soit : Joyeux Hunger Games, et puisse le sort vous être favorable…
Une réflexion sur “Hunger Games”