A comme Association, tome 8

Couverture A comme Association, tome 8 : Le regard brûlant des étoiles

Slurpy

Le huitième tome de cette série était faisait partie des livres que j’attendais le plus, tout d’abord parce que j’adore cette saga, mais également parce que ce huitième tome est, en effet, le dernier !

J’ai donc retrouvé les personnages avec beaucoup de joie, et, rien qu’à la première page, j’étais déjà en train de rire (si, si) ! Évidemment, il est hyper drôle (enfin, ça dépend des goûts mais j’avoue que moi, cet humour me convient totalement) et j’étais ravie de voir que ce livre faisait facilement le double des précédents.
C’est donc (je le répète), avec rires et sourires que j’ai suivi cette histoire, débordante de révélations et d’explications que j’attendais avec impatience !

SPOILER ALERT
La suite du post dévoile des éléments de l'intrigue.

« En matière d’avenir, j’ai compris que rien n’était acquis,
sinon la certitude de voir ces certitudes bouleversées. »

Les Bureaux de l’Association parisiens sont en bien mauvaise posture. Le Sphinx est mort, il n’existe en vérité que trois Agents Stagiaires possédant un véritable don, et ce n’est pas tout. Fulgence, le big boss de l’Association (pour ceux qui n’ont rien suivi au film), qui est également à la tête de la MAD (Milice Anti-Démon), semble avoir une dent contre Jasper et aspire apparemment à l’éliminer (sans compter c’est sûrement lui qui a envoyé ses agents de la MAD tuer Ombe). Cependant, Rose et Walter refusent catégoriquement de livrer Jasper à Fulgence… Mais ce dernier est bien décidé à l’emmener, que ce soit par la force, et assaille les Bureaux parisiens de l’Association.

« Peut-on être entier en refusant une part de soi ? »

Côté écriture, ça ne change pas : avec une narration à la première personne, le style est naturel et agréable, et de plus, facile d’accès. (Quand je disais que ça ne changeais pas…)
L’histoire est -sans surprise- drôle et inventive. Ce tome dévoile une sorte de… « gravité » et de « profondeur » qui ont été toujours été présentes, mais qui, en quelque sorte, restaient… « cachées » (navrée pour les expressions bizarres qu font mal aux yeux), excepté dans le cinquième tome, où ces mêmes gravité et profondeur étaient très ressenties, et pour cause : la mort d’Ombe. 
Les personnages, toujours aussi drôles et vrais, révèlent également une profondeur qui n’avait été qu’entre-aperçue dans les tomes précédents ; si on ne relève pas le cas de Jasper, qui, quant à lui, avait déjà commencer à enchaîner les réflexions prise de tête à partir du tome cinq. Mais là, je parle surtout d’Ombe. De l’Ombe, derrière ses airs moqueurs et narquois…

« On peut refuser de voir la vérité, ça ne l’empêche pas d’exister. »

Je pourrais encore déblatérer sur le sujet quelques temps, mais je crois que j’ai déjà eu assez de mal à écrire le peu de choses ci-dessus, alors je vous conseille quelque chose qui nous simplifiera tous la vie (si, si, je vous jure) : n’hésitez pas à ouvrir les A comme Association, surtout si vous avez entre huit et douze ans !

Note : 10/10.

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